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20 mai 2011

Les belles commémos !

 Avant de vous faire partager un texte de B. Thomas je voudrais insister sur des déclarations d'un militaire syrien ces jours ci : "Tu tues un homme manifestant dans la rue, il y en a dix qui descendent le remplacer. Tu tortures un homme, il y en a dix qui n'osent plus descendre dans la rue.

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Légion 185.gifEN 2005, lors de sa sortie, près de 50 ans après la bataille d'Alger, on ne regardait pas le film d'Yves Boisset de la même manière. Les images sont restées aussi riches, les témoignages, ceux de Massu, de Bigeard comme de Yacef Saadi, responsable de la région autonome d'Alger et donc du terrorisme qu'il y déclencha, demeurent aussi impressionnants. Mais ces quelques années, même ces dernières heures, ont changé notre regard sur les violences sans fin entre le monde arabe et l'Occident (LCP, 29/4). Barbarie contre barbarie, ce fut un étalage de l'horreur, comme si chacun voulait prouver à l'autre son savoir-faire. Une répétition générale des tueries sauvages des décennies suivantes et de leur engrenage de vengeances.

En 1956, après quelques ratissages « efficaces" dans le bled, des centaines de villages brûlés, des milliers de paysans «regroupés ", c'est-à-dire parqués à proximité des cantonnements français. Après une insurrection tout aussi sanguinaire dans le Constantinois qui laissa 171 Français sans vie, les choses sérieuses commencèrent. Les campagnes, qui hésitaient encore, tiraillées entre la férocité de la rébellion et les atrocités des Français,  glissière peu à peu du côté des rebelles, Le feu d'artifice commença avec l'explosion garage de la rue de Thèbes, tout en haut de la Casbah, due au groupe extrémiste français d'Algérie de la Main Rouge.

Cette explosion allait servir de déclencheur à Yacef Saadi pour les attentats qui serviraient eux-mêmes de modèle aux mouvements de libération. 96 attentats dans le seul mois de septembre 1956.

Massu reçut alors en cadeau de Guy Mollet et de la SFIO les pouvoirs spéciaux: il serait plus efficace que les civils. Avec l'aide de Bigeard et de ses tueurs de choc en tenue léopard, il quadrilla à tour de bras, arrêta, tortura, fit ce qu'il appelle avec mépris un « travail de flic », dont on espère que pas un flic ne voudrait.

Parmi ses ministres figurait Mitterrand. Garde des Sceaux, celui-ci répondit aux morts et aux blessés d'un tramway d'Alger et à ceux du casino de la Corniche en faisant guillotiner un à un les prisonniers condamnés à mort.

Il y avait bien de vrais démocrates en Algérie, parmi lesquels le préfet de police, Paul Teitgen. Il se battit tant qu'il put. Jusqu'au jour où il fut réduit à compter le nombre de prisonniers entassés dans les différents centres de rétention par les p'tits gars de la 10" division parachutiste : il en manquait 4000 Disparus. Introuvables parce que parfois transformés en « crevettes à Bigeard », balancés dans la mer depuis des hélicos. Paul Teitgen démissionna en 1957.

Ainsi fut gagnée la bataille d'Alger, comme l'étaient déjà celles en bled. La bataille des droits de l'homme, elle, était perdue. La guerre aussi, qui allait essaimer ses ferments de haine.

Les «crevettes» : c'est une victoire. Non ? Un épisode remarquable de la lutte, contre le terrorisme.

Mais franchement, sans lui, on se sentirait encore plus à l'aise pour féliciter Obama du départ de Ben Laden pour l'enfer d'Allah.

B. THOMAS la Canard enchainé 4 mai 2011

07:38 Écrit par Pataouete dans L'Algérie | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : algérie, la guerre

18 mai 2011

Les potards mouillés par les cadeaux des Labos

Les Pharmaciens sont gavés de remises illégales, de livraisons gratuites et de cadeaux. La Sécu finance ce dumping.

Croix verte.jpgVous n'avez rien contre les génériques? " A demandé, tout sourire, le pharmacien. « Au contraire! " s'est empressée de répondre la petite dame. De toute façon, grâce à la carte Vitale, elle n'a même pas à débourser les 49 euros de médicaments que la Sécu se chargera de payer.

Ce que la cliente de l'officine ignore, c'est l'envers du décor. La blouse blanche a d'excellentes et inavouables raisons d'afficher un sourire radieux. Car elle vient, sans vergogne, de se goinfrer et de gruger le fisc avec la complicité d'un fabricant de médicaments génériques, le laboratoire américain Arrow. Vu le nombre de pharmaciens pratiquant ce sport, les sommes en jeu sont considérables.

L'entourloupe est la suivante: la cliente est arrivée avec son ordonnance. Le toubib lui a prescrit trois médicaments qui ont en commun de n'être plus protégés par un brevet. Tout le monde peut en fabriquer, et ils sont désignés par le nom savant de leur molécule. C'est le principe des génériques: ils coûtent en moyenne 30 %  moins cher qu'une marque. Tout le monde y gagne, y compris la Sécu, qui, dans un délai d'environ deux semaines, remboursera le pharmacien bien aimable.

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Boites à malice

Sauf que, ce jour-là, le potard a fourgué à la patiente trois des nombreuses boîtes que lui offre gratuitement le laboratoire en échange de sa fidélité et, surtout, de ses louables efforts pour aiguiller le patient vers ses propres génériques. Les 49 euros qu'il vient d'empocher, c'est du net, du 100 % de bénef.

En principe, les patrons d'officine achètent les boîtes à leur fournisseur. Puis, avant de les revendre, comme tout bon commerçant, ils prennent une marge. Or, pour les produits pharmaceutiques remboursés par la Sécu, la dite marge est strictement encadrée. Dans la lutte sans merci que se livrent les "génériqueurs " pour arracher des parts de marché, tous les coups ne sont donc pas permis. Les entreprises du médicament ont le droit de pratiquer une remise sur facture de 17 % au maximum.

Mais elles ne s'en tiennent pas là ... «La concurrence entre nous est féroce. On est tous limite ", reconnaît un directeur commercial. Et il arrive que la ligne jaune soit dépassée : avec la combine des « unités gratuites ", par exemple, tout bonnement interdite. Ce qui n'empêche pas le laboratoire Arrow d'en inonder le marché. Parfois jusqu'à une boîte sur deux, soit 50 % de remise ...

« Je ne suis pas sûre que ce soit légal ", concède d'ailleurs au « Canard" Anne Baille, la directrice du labo. Parole d'expert: elle est membre du conseil d'administration du Leem, le syndicat de l'industrie pharmaceutique, et vice-présidente du Gemme, son correspondant pour les génériques. Après trois jours d'intense réflexion, elle a fait savoir au « Canard » que tout cela lui semblait « légal dans le cadre de la législation européenne ». Mais cette manip ne revient-elle pas à escroquer l'Etat ? Sur toutes ces boîtes fantômes, le labo ne déclare pas la TVA à 2,1 %. Mais parlez de fraude fiscale et Anne Baille s'étrangle : « Je veux bien admettre qu'il s agit d'une surremise, mais je n'irai pas au-delà. »

Au bon marché

 

pharmacien,générique,labos

C'est pourtant précisé en toutes lettres dans les documents internes du labo : pour une commande de 30 000 euros, l'officine peut obtenir 1 200 boîtes gratuites, choisies dans une liste de plus de 200 spécialités. Un marché gratuit, avec une seule restriction : ne pas dépasser 600 boîtes s'il s'agit de clopidogrel, générique du Plavix, un peu trop cher. Cette petite merveille a les mêmes vertus que l'aspirine mais coûte ... 22 fois plus cher. A 30,80 euros la boîte, prix public, le pharmacien peut tout de même empocher, au noir, 18 480 euros à chaque nouvelle commande de 30000 euros.

Et ce n'est pas tout. Arrow commerce avec quelques groupements d'achats en gros, dont certains sont même des faux nez du labo. Pour le pharmacien, c'est Noël tous les jours: en plus de sa remise légale de 17 %, et en plus de ses boîtes gratuites, il a droit à 10, 20, voire 40 % de remise supplémentaire dès l'achat de la première boîte. Il faut à tout prix - c'est le cas de le dire - fidéliser le pharmacien.

Question: comment, avec un tel dumping, Arrow n'a-t-il pas déjà mis la clé sous la porte? D'où cet affreux soupçon. Le Comité économique des produits de santé, un appendice interministériel chargé de fixer le prix de chaque spécialité en fonction du coût de production, se laisserait-il rouler dans la farine? Si Arrow peut gagner sa vie en accordant, tout bien pesé, jusqu'à 70 % de remise, c'est à l'évidence que les prix sont fortement surévalués.

Merci qui? Merci, la Sécu, qui paie gentiment. Et creuse son trou !

Brigitte Rossigneux Le Canard Enchainé du 4 mai 2011

Allô, maman, labo !

Les labos débordent d'imagination pour améliorer l'ordinaire des potards et s'attirer leur faveur. Ils paient grassement des publicités dites de "vitrine",.. D'où la présence de tous ces mannequins de carton vantant tel ou tel produit dans la devanture ou à l'entrée de l'officine. Autre astuce, la fourniture de bandeaux à la gloire des comprimés Truc et des ampoules Machin qui défilent en boucle sur l'écran d'ordinateur du pharmacien. Ils sont payés par des régies publicitaires que rémunèrent… les labos.

 

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16 mai 2011

1981-2011: Mitterrand et… les «Trente foireuses»!

 

Des émissions sur l’arrivée de «Tonton» Mitterrand à l’Elysée, les Français en ont mangé matin, midi et soir. Jusqu’à l’indigestion. Mais toutes ces émissions semblent être passées à côté de quelque chose d’essentiel. Et si son accession à la Présidence de la République marquait le début d’une nouvelle ère, une période non encore identifiée par les historiens et que l’on pourrait baptiser les «Trente foireuses»? Retour sur les trois dernières décennies politiques avec ce court film de Laurent Sciamma.


07:26 Écrit par Pataouete dans La poulitique | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : mitterand, les trentes foireuses

13 mai 2011

De Marignane à Nice : les chemins du déshonneur de la République.

Ni hommage ni apologie !

L’Association nationale des pieds noirs progressistes et leurs amis (ANPNPA), l’Association nationale pour la protection de la mémoire des victimes de l’OAS (ANPROMEVO) et l’association Les amis de Max Marchand, de Mouloud Feraoun et de leurs Compagnons communiquent :

 De Marignane à Nice : les chemins du déshonneur de la République.

Lors de deux éditions successives de son émission politique Dimanche+, la chaîne Canal+ a accueilli des invités confrontés à la même période de l’histoire de la guerre d’Algérie.

Le 17  avril, en présence, sur le plateau, de M. Henri Guaino, conseiller spécial du Président de la République, était diffusé un reportage consacré à une cérémonie d’hommage public à l’OAS, organisée par d’anciens extrémistes de la colonisation en Algérie dans l’enceinte d’un cimetière de Marignane (Bouches-du-Rhône). Cette manifestation se déroulait autour d’une stèle élevée là en l’honneur de quatre figures emblématiques de ce mouvement séditieux ayant fait près de trois mille morts en 1961-1962, en Algérie et en France. Parmi ces victimes : des civils, des élus, des militaires, officiers généraux, officiers ou sous-officiers de carrière et appelés du contingent, des magistrats, des membres des forces de l’ordre, des enseignants, des fonctionnaires, des entrepreneurs, des employés, des ouvriers, des syndicalistes.

La présence de ce cénotaphe permet aux ennemis d’hier et d’aujourd’hui de la Vème République, de se livrer à la propagation d’un discours révisionniste, à la façon de cet ancien membre de l’OAS, Jean-Pierre Papadacci, vociférant contre "un chef d'État félon, passible de la haute cour" (!) et contre "la police gaulliste".

On aurait pu escompter de M. Henri Guaino qu’il réprouve vigoureusement ces hommages rendus aux criminels multirécidivistes de l’OAS et qu’il rappelle que, parmi leurs victimes  innocentes, figuraient, outre des femmes et des enfants, des serviteurs de la République cités à l’ordre de la Nation ou dont l’acte de décès porte la mention "Mort pour la France".

Le 23 avril, les portes d’un square public de Nice ont été ouvertes par le maire, M. Christian Estrosi, à d’anciens factieux pour leur permettre de célébrer  haut et fort la gloire des généraux putschistes auxquels ils avaient obéi cinquante ans plus tôt, tournant contre la République les armes qu’ils en avaient reçues.

M. Estrosi était, quant à lui, l’hôte de l’émission du dimanche  24 avril. On pouvait attendre de cet élu qui ne manque jamais une occasion de rappeler sa filiation gaulliste qu’il s’abstienne de favoriser la célébration du putsch d’avril 1961 dans un lieu public. En effet, le représentant de l’État dans le département et lui-même disposaient des moyens tant juridiques que matériels d’empêcher le déroulement d’une telle manifestation, a priori sans précédent dans l'histoire de la Vème République et préalablement qualifiée par le préfet des Alpes-Maritimes d’illicite et justiciable de poursuites pénales.

Dans un tel contexte, il est regrettable que Canal+ n’ait pas cru devoir accorder la moindre place aux authentiques dénonciateurs de la réhabilitation de l’OAS, sollicités et interviewés des heures durant, de Marseille à Paris, par les journalistes préparant l’émission ?

Les signataires font par ailleurs observer que la Présidence de la République et le ministère de l’intérieur ont omis d’honorer  le souvenir de Camille Blanc, lâchement assassiné par l’OAS dans l’exercice de ses fonctions de maire d’Évian, le 31 mars 1961. Qu’en sera-t-il le 31 mai 2011, date du cinquantième anniversaire de la mort de Roger Gavoury, première victime de l’OAS au sein de la fonction publique de l’État à Alger, et dont les tueurs - condamnés à mort et exécutés pour trois d’entre eux - sont érigés en martyrs et héros de l’Algérie française, comme tel est le cas de Roger Degueldre à Nice depuis 1973 ?

Ils rappellent que de tels hommages publiquement rendus à l’OAS ne peuvent que choquer les Algériens et les Français qui en ont été directement ou indirectement les victimes et font obstacle à la réconciliation des peuples de France et d’Algérie ainsi qu’à la mise en œuvre de relations de partenariat apaisées entre les deux pays. À la veille du grand rendez-vous mémoriel de 2012, les signataires appellent les pouvoirs publics et leurs représentants à cesser toute démonstration de bienveillance à l’égard des instigateurs de manifestations de cette nature et à condamner sans ambages toute apologie des actions de l’OAS.

 

 

 

 Pour l’ANPNPA                               Pour l’ANPROMEVO               Pour l’association Marchand-Feraoun

 Jacques Pradel                                   Jean-François Gavoury                    Jean-Philippe Ould Aoudia

 Président                                             Président                                             Président

 

 

07:41 Écrit par Pataouete dans L'Algérie | Lien permanent | Commentaires (13) | Tags : ni hommage, ni apologie

11 mai 2011

Va te faire voir chez les Grecs !

stade des lumières,coupe d'europeUn an après avoir été sauvée à grand tapage par l'Europe, la Grèce va beaucoup mieux: Athènes s'apprête à tout vendre. Tout brader au privé : eau, électricité, poste, chemins de fer, gaz, ports, aéroports, opérateurs téléphoniques ... tout doit disparaître !

Histoire de trouver fissa quelques milliards pour alléger la dette. C'est ça qui est bien, avec les marchés financiers : pendant que le client est à terre, asphyxié, humilié, écrasé par un plan de rigueur en béton armé, ils lui font consciencieusement les poches. Il n'y a pas si longtemps, pourtant, la Grèce faisait l'admiration du monde entier. Souvenez-­vous, c'était en 2004 :

Athènes avait décroché les Jeux olympiques, construit des stades partout, des gymnases, des équipements dernier cri, arrachant des bravos unanimes. Neuf milliards d'euros, soit 5 % des richesses produites chaque année en Grèce, y étaient passés. Aujourd'hui, la fête est finie. C'est ce qui nous pend au nez.

Car nous aussi, nous nous apprêtons à entrer dans le grand show sportif planétaire. Grâce à Sarkozy, nous avons décroché l'Euro 2016. Et nous nous battons comme des chiens pour décrocher les JO d'hiver à Annecy ! Mais nous aussi, nous sommes frappés par la rigueur - laquelle ne fait que commencer. Du coup se pose une épineuse question : comment financer les deux stades de 50 000 places, les trois stades de 40 000 places, les quatre stades de plus de 30 000 places qu'exige l'UEFA?

Déjà financièrement à sec, les collectivités locales se sont toutes jetées sur les PPP, Partenariats Public-Privé, merveilleuse invention qui permet de ne pas dépenser un kopeck en confiant tout au privé. C'est ainsi que Vinci vient de terminer le grand stade du Mans (38 000 places), qu'à Lille c'est Eiffage qui construit le nouveau stade de 50 000 places, que Nice s'apprête à confier le sien à Vinci, et que Bordeaux ne devrait pas tarder ...

Le PPP, c'est génial : c'est le privé qui conçoit, construit, exploite (en contrepartie, la collectivité lui paie un loyer). Et, après s'en être mis plein les poches pendant trente ans, il remet les clés de l'équipement fatigué à la collectivité. Bon débarras! Sauf si, comme les autoroutes, cela continue à être rentable alors….

Il y a mieux : pour les petites villes comme Lens ou Nancy, qui ont du mal à attirer les investisseurs privés (c'est moins juteux), le gouvernement a imaginé, raconte « Mediapart » (3/4) une « loi d'exception ». Il s'agit de faire sauter toutes  les règles sur le financement du sport. Débattu en urgence à l'Assemblée le 23 mars, ce texte de loi devrait permettre au privé (groupe du BTP ou club de foot) de percevoir les mêmes subventions qu'un maître d'ouvrage public, et au public de participer sans limite aux frais de fonctionnement. Bref, de nous faire les poches pour le plus grand bien du foot business. Et vive la rigueur ...

Ah oui, un détail; les ouvriers du BTP sont tellement bien payés que ceux d'Eiffage en train de construire le grand stade de Lille ont fait grève plus de deux semaines. Les veinards ont obtenu 2 % d'augmentation.

Jean-Luc Porquet

" Le Canard enchaîné» - mercredi 20 avril 2011 - "

 

Vous constaterez que le Stade des Lumières et surtout, centre commercial du Fric de Lyon n'est pas cité dans cet article, il y a toujours une grosse bagarre autour et surtout à propos du financement des infrastructures routières. Dernière nouvelles, le Maire de Meyzieu commune limitrophe du Terrain d'assise choisit, et adversaire principal de ce projet et désormais premier-vice-président du Conseil Général du Rhône et pour la première fois, le Président-ministre a délégué ses pouvoirs. Fillon renâcle à signer l'utilité publique qui permettrait de passer en lob au dessus des lois d'Urbanisme,

Collomb est pour, évidemment le Bling-Bling, et Forissier est contre. Le Championnat ne fait que commencer.

 

Finalement, les Strasbourgeois ont de de la chance de ne pas être retenus.

 

stade des lumières,coupe d'europe


07:18 Écrit par Pataouete dans Mes humeurs, Sport | Lien permanent | Commentaires (17) | Tags : stade des lumières, coupe d'europe