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19 août 2009

Pépère et Mémère

Je cherchais une réponse aux "passages de Rosa" sur sa note annonçant la naissance d'un nouveau site, dont je suis le Maître de Oueb, de l'École des Grands-Parents.    EGPE69

 Beaucoup de film en english et vous devez savoir maintenant que je suis fébrilement francophone.

Et puis cette vidéo qui me permet d'aborder ce sujet et par dessus le marché de rendre hommage aux anciens de ma Ch'tite. avant d'aller admirer ce nouveau venu du Oueb regardez...


Maintenant vous pouvez regarder les autres vidéos proposées à la fin du visionnage ou aller tout de suite voir EGPE69

 

15:22 Écrit par Pataouete dans Mes humeurs | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : grands-parents, ch'ti

18 août 2009

"Entre Usain Bolt et moi, il y a 8 mètres d’écart !"

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Roger Bambuck (gauche), ici lors de la finale du 100 m aux JO de Mexico le 14 octobre 1968. La médaille d’or revient à l’Américain Jim Hines (4e en partant de la gauche), alors premier sprinteur à passer sous la barre des 10 secondes, avec un chrono de 9,95. Un record qui sera inégalé pendant 15 ans.
©AFP

Retour ce matin sur France info sur ce record incroyable battu hier soir par Usain Bolt. Le Jamaïcain a couru le 100 mètres en 9 secondes et 58 centièmes lors de la finale aux Championnats du monde d’athlétisme de Berlin. Jamais un homme n’avait couru aussi vite. Pour en parler, Roger Bambuck, ancien athlète français, champion de France et d’Europe.

 

A l’époque, son chrono était de 10 secondes tout rond, se souvient Roger Bambuck, co-recordman du monde du 100 m à Sacramento, en 1968.

Plus de 40 ans après, l’ancien athlète français était devant son poste de télévision hier soir pour assister à cette finale incroyable aux championnats du monde de Berlin, remportée par "la fusée" Bolt.

"Un moment important des compétitions sportives", commente-t-il, "parce tout était réuni". "Nous avions un athlète exceptionnel en la personne d’Usain Bolt mais surtout nous avions une contestation très forte parce que l’Américain Tyson Gay (9.71) n’était pas venu là pour faire de la figuration et on voyait remonter en puissance un autre Jamaïcain, Asafa Powell (9,84), qui a été en son temps recordman du monde de la discipline", explique-t-il.

42 centièmes séparent le record de Roger Bambuck (10 secondes) de celui d’Usain Bolt (9,58), "mais il faut ramener ça en mètres", nuance l’ancien athlète français. "Entre Usain Bolt et moi il y a 8 mètres d’écart […] Nous, nous étions dans une période préhistorique de la course à pieds. Par rapport aux grands sprinters d’il y a 30 ans, et bien il (Bolt) nous met 8 à 9 mètres !".

Certains spécialistes estiment qu’il sera difficile, voire impossible, de faire mieux que ce chronomètre devenu depuis hier soir légendaire. Mais le Jamaïcain dit lui même qu’il battra son propre record et fera bientôt 9 secondes 40.

Roger Bambuck y croit. "Chaque fois qu’un record tombe, on rentre dans un monde nouveau, dans un monde inconnu". Dans les années 50, les scientifiques affirmaient "que jamais un homme ne mettrait le pied sur la lune… et pourtant", rappelle l’ancien champion de France et d’Europe. Cela prendra le temps qu’il faut mais "un jour, Usain Bolt ou un autre battra le record actuel", assure-t-il.

 

 

17:40 Écrit par Pataouete dans Sport | Lien permanent | Commentaires (15) | Tags : bolt, bambuck

17 août 2009

Solidarité

Découverte au hasard d'un promenade sur You Tube j'ai eu envie de vous la faire écouter, découvrir peut-être.

Chanson de Jean Pax Méfret


07:17 Écrit par Pataouete dans La poulitique | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : solidarité

16 août 2009

La Solidaire vers Dieppe

Etape 4 : DINGLE - DIEPPE ( 511 milles )

04-12-2008

Départ : Dimanche 16 août

C'est une étape marathon qui clôturera notre 40ème édition, soit 511 milles pour rejoindre le port normand de Dieppe. Etape technique, elle alternera des passages en zones côtières et au large.
Un début de course le long de l’Irlande pour le plaisir des yeux certainement mais qui ne sera pas sans piège… Cette fois-ci, il faudra laisser le Fastnet Rock à tribord, avant de traverser la mer Celtique sur 160 milles pour rejoindre la côte Ouest de la Cornouaille anglaise. Wolf Rock sera une marque à laisser à bâbord, quand au franchissement de l’archipel des îles Scilly, il restera libre. La route directe qui passe près du plateau Seven Stones demandera une vigilance toute particulière à la mi-course.
La route est encore longue : 23 milles pour rejoindre le fameux Cap Lizard, réputé pour ses eaux mouvementées par de forts courants. Viendra ensuite une soixantaine de milles le long de la côte sud britannique en passant devant la profonde baie de Plymouth afin d'aller chercher la pointe de Start Point. Les 90 milles nautiques de Start Point à la pointe sud de l’île de Wight matérialisée par le phare de Sainte-Catherine, pourront se révéler capricieux à négocier dans la baie de Lyme et aux abords de Portland Bill.
La cardinale South Pullar, aux abords Est de l’entrée du Solent, sera peut-être la bouée de la délivrance mais la Manche reste encore à traverser sur une distance de 80 milles nautiques afin de rejoindre le port d’arrivée de cette quarantième édition, Dieppe.

la 4ème et dernière étape : Dingle - Dieppe. 511 milles.

Départ dimanche 16 août 2009 à 13h00.

Salut Régatiers virtuels,

Prêt(e) pour la 4ème et dernière étape ?
C'est une étape marathon qui clôturera cette 40ème édition, soit 511 milles pour rejoindre le port normand de Dieppe. Etape technique, elle alternera des passages en zones côtières et au large.

 

Départ de Dingle

- Laisser le Fastnet Rock à tribord, avant de traverser la mer Celtique sur 160 milles pour rejoindre la côte Ouest de la Cornouaille anglaise.

- Le Wolf Rock sera une marque à laisser à tribord, quant au franchissement de l’archipel des îles Scilly, il restera libre.

- Puis route vers le sud de l’ile de Wight pour laisser la bouée  South Pullar à tribord avant le sprint final vers Dieppe pour l’arrivée.

L’âme des guerriers

Nicolas Lunven remporte La 40e Solitaire du Figaro

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En terminant quatrième à Dieppe, 5 minutes derrière le vainqueur d’étape Antoine Koch, Nicolas Lunven remporte à la régulière La 40e Solitaire du Figaro. Pour sa troisième participation le vannetais de 26 ans s’impose devant deux marins bien plus expérimentés, que lui : Yann Eliès et Frédéric Duthil.

Nicolas Lunven : « je n’ai pas arrêté d’attaquer »

Sur les pontons de Dieppe, fourbu de fatigue mais aussi respirant un bonheur tout en mesure, Nicolas Lunven (CGPI), le grand vainqueur de cette 40e Solitaire du Figaro, a répondu aux questions tous azimuts. Voici donc les premiers mots de ce jeune homme de 26 ans qui accède à la légende de la course au large et… faIt mieux que son papa Bruno, deuxième de cette même épreuve voilà 25 ans.

La première impression ?
C’est génial. Si on m’avait parlé d’une victoire il y a un mois, je n’y aurais jamais cru. Déjà gagner La Solitaire, c’est inespéré… mais en plus celle-là, la 40e édition, avec le plateau exceptionnel de coureurs qu’il y avait, devant Michel Desjoyeaux mais aussi tous les autres, c’est parfait. Et la bataille a été intense jusque dans les tous derniers milles.

Une joie mesurée ?
La joie est là, je vous assure… et la fatigue aussi ! Dix milles avant la ligne, je me disais que c’était bon mais tant qu’elle n’est pas franchie. J’ai beaucoup surveillé aussi si des concurrents n’arrivaient pas de l’autre côté du plan d’eau et je voyais les bateaux devant moi tomber dans du vent plus mou. Je suis donc resté concentré pour ne pas avoir de regret si cela tournait mal avant la ligne.

Cette dernière étape ?

Je suis parti dans les derniers à Dingle et j’ai passé mon temps à remonter des places, mais sans rejoindre la tête de course jusqu’à ce matin. Virtuellement il y a eu des moments où je n’étais plus leader – ce matin par exemple je n’étais plus premier au général - où on avait des vainqueurs virtuels comme Frédéric Duthil, Yann Elies et d’autres. Au final on est tombé dans du vent mou ce midi et j’ai réussi à attraper le vent frais avant eux, pour m’échapper de la meute et reprendre un groupe de quatre bateaux qui étaient devant moi dans un petit virement. Mais il fallait être vigilant en permanence.

Le plus dur sur cette course ?
Jongler avec les différentes conditions rencontrées. Nous n’avons jamais eu de gros temps, ni de pétole blanche, les conditions étaient idéales. Mais il a fallu être vraiment attentif. Je crois que je ne me suis pas laissé faire, je n’ai pas arrêté d’attaquer.

La méthode Lunven ?

J’étais beaucoup mieux préparé que l’an dernier. J’avais envie de bien m’exprimer sur l’eau. Le secret est peut-être d’avoir pris du plaisir à naviguer, de m’être éclaté et d’avoir joué tous les coups à fond, pas forcément de grandes options à la Nicolas Troussel, mais beaucoup de petites choses qui ont fini par payer : des petits bords, des détails. Comme cet après-midi où j’ai passé le petit groupe devant moi en faisant le petit virement qu’il fallait, qui était risqué car je partais à 90° de la route mais ça a payé. Ma petite fierté est d’avoir été capable d’être régulier sur quatre étapes. Et non je n’ai pas de regret de ne pas avoir remporté une étape, je préfère sans problème le classement général ! »

La réussite ?
« Je pense avoir déjà beaucoup utilisé ma bonne étoile donc pas la peine de jouer au Loto demain : à chaque fois que je n’étais pas bien, j’arrivais à revenir. Dès que j’avais une idée derrière la tête, je la faisais et ça marchait, il y avait souvent un petit contexte favorable pour moi sur ces trois semaines de course, ce qui est assez étonnant. Je crois avoir eu beaucoup de réussite, oui.»

L’avenir ?

Je crois que je vais rester en Figaro car j’ai encore deux ou trois trucs à apprendre… heu.. plus de deux ou trois en fait ! Donc on va rester dans cette série qui me plaît bien… maintenant si vous avez un projet Vendée Globe à me proposer… faut voir (rires)! »

07:02 Écrit par Pataouete dans Jeux | Lien permanent | Commentaires (46) | Tags : solitaire du figaro

15 août 2009

Salut ! Les Paul

 

gibson.jpgLe guitariste de country et de jazz Les Paul, célèbre pour avoir participé à la conception de la mythique guitare portant son nom et été un pionnier de l’enregistrement multipiste, s’est éteint à l’âge de 94 ans.

De son véritable nom Lester William Polsfuss, le musicien virtose et inventeur a succombé des suites d’une pneumonie dans un hôpital de l’Etat de New York.

La firme Gibson a aussitôt salué "l’une des influences majeures du son du XXème siècle, à l’origine de la plus célèbre guitare du monde". Celle qui porte son nom.

Au cours de sa carrière, Les Paul avait accompagné de nombreux jazzmen, dont Nat King Cole et Louis Armstrong, et composé quelques tubes dans les années 40 avec sa femme Mary Ford, comme How High The Moon. Mais il est surtout entré dans la légende en tant qu’inventeur de la guitare "solidbody".


Spéciale dédicace à Monsieur Rosa...


 

07:35 Écrit par Pataouete dans Musique | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : les paul, gibson, guitare