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27 novembre 2009

Le Ch’ti café est servi

Le Ch’ti café est servi.

__arriveevm3_150.jpgVoilà ! La dernière aventure de l’Utopie est achevée. Depuis notre arrivée le 21 novembre au matin, soit quand même 4 jours avant les premiers vrais concurrents, tout l’équipage profite des tavernes de Porto Limon.

Nous avons également découvert un pays bien sympathique : Le Costa Rica.

Je crains, personnellement, que l’accueil hôtelier proposé ne soit un peu trop « confort bourgeois » pour moi mais il y a indubitablement de belles balades sur terre, sur mer et sous-mer.

 

Encore une fois, ma note : L’Utopie c’est reparti ! Un ch’ti café ? A regroupé l’équipage vers de nouvelles aventures et fait l’objet de 151 commentaires. Dans le même temps, les visites journalières sur mon blog prenaient un essor d’au moins 20%.

 

Costa%2520Rica.jpgCette aventure « Utopique » amorcée chez Rosa pour le Vendée Globe se poursuit toujours sur Pataouète et maintenant pour la troisième fois. Entre le Figaro et la Transat JV j’avais aussi fait quelques courses mais sans les relater pensant que notre histoire allait s’essouffler. Et bien non, l’embarquement a été immédiat et nous voilà reparti pour une nouvelle aventure. L’équipage principal, Nono, Alsa et bien sur le Capitaine, après quelques hésitations nostalgiques du Havre, Rosa et Doume est resté à la veille météo et Radio. Nous avons également embarqué quelques nouveaux équipiers : Roso le stentor, Patoo l’artiste, Paul Émique et le Père Amptoire.

 

Oh ! Bien sur il y eu quelques orages, 20 ans d’amour, d’amour fou ♫ mais ils ne venaient pas forcément de là ou vous pensez !

 

Depuis le Figaro j’avais un peu abandonné mon premier partenaire virtuel au profit de Virtual Loups de mer. Un autre produit virtuel proposé sur le Oueb. Je vous propose un petit test comparatif des 2.

Virtual Regatta

(lien)

__crepes_whaou_3_15_150.jpgMon premier. Il s’agit du site le plus connu et toujours celui qui est référencé sur les liens présentant la Vrai course. Il est très accessible, beaucoup de concurrents n’ont jamais navigué, ne nécessite donc pas de compétence marine particulière. Une messagerie inter-concurrents est ouverte et permet des contacts radio. L’écran est clair et les infos suffisantes.

Ce site est très ludique mais :

Þ    la météo ne tourne que toutes les 12 heures et la présence du skipper à 8h et 20 h est indispensable. Encore faut-il ne pas trop se plaindre, c’était 11h et 23h sur le VG. Ce n’est pas toujours facile et cela peut devenir très stressant.

Þ    Le site propose des options d’aide à la navigation et de voiles spéciales course. Ces options sont nécessaires pour des concurrents ambitieux mais surtout indispensables au confort d’un skipper qui refuse de se lever en pleine nuit pendant des jours et des jours. Jouer au navigateur : oui ! se crever à la tâche : non ! Il y a une vie en dehors du Virtuel ! Or, ces options, donc nécessaires, sont payantes et pour chaque départ. 20 € sont sollicités pour chaque course et même les voiles Pro sont parfois payantes. Pour une course de 4 mois ça va mais pour 14 jours bonjour les dégâts !

C’est pour cela que j’ai cherché un autre site.

Virtual Loup de Mer

(lien)

voyage_petit_groupe_costa_rica_h.jpgJ’ai trouvé une demi-douzaine de sites. C’est le deuxième qui cause français et vous devez savoir que je suis allergique aux langues exotiques…

VLM est beaucoup plus « technique » de VR, il propose une mise en situation quasi réelle, il est plus satisfaisant pour les vieux loups de mer, entièrement gratuit et propose des aides à la navigation Pro. Un vrai ordinateur de bord, une météo qui tourne toutes les heures mais :

Þ    c’est le produit qui gère les voiles donc, un plaisir en moins et une absence de risques tactiques.

Þ    La maitrise du système réclame une attention soutenue, la gestion des cartes en particulier. Mais si j’y suis arrivé vous devriez aussi pouvoir maitriser la bête.

Þ    Donc, une navigation finalement trop assistée ou les seuls écueils sont justement les écueils qui ne sont pas gérés et nécessites donc l’intervention humaine. Mais lorsque vous êtes sortis du golfe de départ, c’est long une traversée pépère.

Þ    De là, un petit train de bateaux virtuels (juste une croix sur la carte) et peu de chance de rattraper ses erreurs.

Sur des courses de quelques heures ou jours, VLM est sympa. Mais sur des transats ou des tours du monde je pense que l’on languit un peu.

 

Conclusion : militons pour que Virtual Regatta abandonne le mercantile pour le plaisir des participants (300.000 « Pub » pendant 4 mois ça peut valoir de coup non ?).

Et si la technique, chez vous, l’emporte sur le ludique, optez pour le Virtual Loup de mer. Mais faites-vous la main sur les petites courses proposées en permanence.

 

En attendant la prochaine : « Un ch’ti café ! »

transat_article.jpg

31 juillet 2009

Le Socialisme Utopique

L'expression « socialisme utopique » recouvre plusieurs courants du socialisme.

Dans son sens historique,

180px-Hw-fourier.jpgLe Socialisme utopique désigne les doctrines des premiers socialistes européens du début du XIXe siècle (qui ont précédé Marx et Engels) tels Robert Owen en Grande-Bretagne, Saint-Simon, Charles Fourier, Étienne Cabet et Philippe Buchez en France. Ce courant est influencé par l'humanisme et souvent le christianisme social. Il s'inscrit à l'origine dans une perspective de progrès et de foi dans l'Homme et la technique. Il connaît son apogée avant 1870, avant d'être éclipsé, au sein du mouvement socialiste, par le succès du marxisme et l’embourgeoisement « l’Internationale socialiste ».

Charles Fourier

Pour la science politique,

Le terme de socialisme utopique englobe toutes les tentatives de création ex-nihilo de sociétés ou microsociétés de nature communiste ou socialiste, antérieures ou postérieures à la période d'apogée historique du socialisme utopique au XIXe siècle (1820-1870). Il inclut donc également les communautés qualifiées en France de "hippie" ou "soixante-huitardes", au XXe siècle.

Le socialisme utopique se caractérise par la volonté de mettre en place des communautés idéales modèles selon des modèles divers, certaines régies par des règlements très contraignants, d'autres plus libertaires ; certaines communistes, d'autre laissant une plus grande part à la propriété individuelle.

Le socialisme utopique se caractérise surtout par sa méthode de transformation de la société qui, dans l'ensemble, ne repose pas sur une révolution politique, ni sur une action réformiste impulsée par l'État, mais sur la création, par l'initiative de citoyens, d'une contre-société socialiste au sein même du système capitaliste. C'est la multiplication des communautés socialistes qui doit progressivement remplacer la société capitaliste.

Des centaines d'expériences de création de communautés socialistes s'inscrivant dans la filiation du socialisme utopique peuvent être relevées à travers l'histoire. Jusqu'à présent, elles ont été réalisées à échelle limitées (des communautés de quelques centaines de personnes au plus) et sur des durées généralement limitées, leur pérennité n'étant assurée par aucune instance centrale ou politique.

Coopératives Ouvrières

Marcel_Mermoz.jpgJ’ai « suivi » à Valence quelques expériences de coopératives ouvrières. Marcel Mermoz et Marcel Barbu furent les 2 fondateurs. Marcel Mermoz, a publié un livre, entre autres, intitulé : « L’autogestion c’est pas de la tarte » entretien avec Jean-Marie Domenache - 1978 - Edition SEUIL

Si ce sujet vous intéresse je vous propose un lien : Marcel Mermoz.

10:14 Écrit par Pataouete dans La poulitique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : socialismeutopique, utopie