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26 novembre 2010

Le putsch du 8 novembre 1942 à Alger

Figurez-vous que, recherchant des éléments pour préparer une note sur le Putsch des Généraux (61), je viens de découvrir qu'il n'y a pas eu 2 putschs à Alger, mai 58 et avril 61, mais qu'il y en a eu un premier, le 8 novembre 1942, certainement le plus louable des 3. Il s'agissait pour la Résistance en Algérie de neutraliser les forces civiles et militaires afin de faciliter le débarquement des GI's qui voulaient établir une tête de pont au Maghreb, base des campagnes de Lybie, d'Italie et de France.

Cette action contribua à la libération des 3 premiers départements français libérés, 2 ans avant la métropole. Mais, cette participation a été souvent bien occultée.

Le putsch du 8 novembre 1942 à Alger

Après une longue préparation, et en exécution d'accords passés secrètement à la conférence de Cherchell le 23 octobre 1942 entre la résistance algéroise et le commandement allié, 400 résistants français, dont les deux tiers étaient des Juifs ont neutralisé le 8 novembre 1942, les batteries côtières de Sidi-Ferruch et le 19e corps d'armée d'Alger pendant une quinzaine d'heures. L'action des résistants d'Alger fut baptisée quelques mois plus tard « putsch » par ses auteurs, lorsqu'ils s’avisèrent qu'il avait été exécuté un 8 novembre, c'est-à-dire le même jour que le putsch manqué qu'Hitler avait mené à Munich en 1923.

Ils avaient pour cela occupé, pendant la nuit, la plupart des points stratégiques. Simultanément, l'un de leurs groupes, composé d'élèves du Lycée de Ben-Aknoun commandés par l'aspirant de réserve Pauphilet, avait réussi à arrêter le général Juin commandant en chef en Afrique, ainsi que l'amiral Darlan, inopinément présent à Alger cette nuit-là.

Ce putsch, par lequel la résistance algéroise neutralisa pendant plusieurs heures les autorités civiles et militaires vichystes en Afrique du Nord, le 8 novembre 1942, allait d'abord avoir, sur le plan militaire, les deux conséquences essentielles recherchées :

    * le succès du débarquement allié ;

    * et le retournement de l'armée d'Afrique, qui après trois jours de combat sanglant contre les alliés, terminera finalement la guerre dans l'autre camp.

De plus, ce succès militaire de la résistance et du débarquement se révèlera à la longue capital aussi, sur le plan politique, et ce bien que la neutralisation momentanée des autorités vichystes par les résistants, suivie de leur capitulation, ait d'abord entrainé la création d'un nouveau pouvoir vichyste à Alger. En effet cette nouvelle autorité, malgré le soutien de Roosevelt, sera ensuite contrainte à se démocratiser pour conduire l'effort de guerre contre l'Allemagne. Au point qu'après avoir fusionné, non sans peine, avec le Comité national français de Londres, elle passera en quelques mois sous l'autorité du général de Gaulle, devenu le seul dirigeant du Comité français de la Libération nationale.

La prise d'Alger par les résistants a donc été un véritable coup d'État, malgré ses résultats politiques différés, et l'un des rares cas réussis de coup d'État de civils contre des militaires. D'où son surnom local dans les mois suivants de « Coup du 8 novembre ».

Cette neutralisation pendant 15 heures d’un corps d’armée, par des civils, a souvent été occultée, mais comme le note Christine Levisse-Touzé elle a conditionné une des premières grandes victoires alliées sur le front occidental.

Cette opération a été remportée par des civils mal armés sur des généraux. Aussi ceux-ci n'ont-ils pu qu'en être humiliés, les uns pour s'être laissés arrêter à Alger, et les autres pour avoir tiré pendant trois jours sur les Alliés et livré sans combat la Tunisie aux Allemands, avant de se décider à reprendre la guerre contre l'Allemagne.

Les diplomates et généraux américains ont eu tendance à omettre ou à minorer le rôle de la Résistance française dans leurs relations ultérieures de l'opération Torch.

IMG_2933.JPG

Baie de Sidi-Ferruch, Staouéli (2009)

la plage était totalement dégagée en 1942

L'organisation du putsch

À Alger, le 6 novembre 1942, les principaux chefs de groupe de la résistance se rencontrèrent pour la première fois, au Q.G. de la conjuration, chez le professeur Henri Aboulker, au 26 de la rue Michelet. Il s'agissait de Jean Athias, André Morali-Daninos, Maurice Ayoun, Paul Ruff, Raphaël Aboulker et du capitaine Pillafort. Plusieurs se connaissaient de longue date. Mais ils ignoraient leur appartenance au même complot, tant le secret avait été rigoureusement respecté. José Aboulker les présenta alors à Henri d'Astier de la Vigerie et au colonel Germain Jousse qui leur exposèrent les buts de la conjuration et les invitèrent à commencer la mobilisation de leurs hommes.

La résistance s'était engagée, à la conférence de Cherchell, à neutraliser, pendant au moins 2 heures, les éléments algérois du 19e corps d'armée, soit quelques 12 000 hommes, dont 5 000 à Alger (et une partie dans les garnisons de Blida et Koléa), sans parler de près de 2000 membres du Service d'ordre légionnaire, créé par Joseph Darnand, et du Parti populaire français de Jacques Doriot, directement armés par les commissions d'armistice de l'Axe. Simultanément devraient être réduites au silence les batteries du fort de Sidi-Ferruch, principal site du débarquement.

Pour atteindre ces objectifs, les résistants allaient pouvoir, grâce au colonel Jousse, major de garnison, retourner contre les autorités de Vichy leur propre plan « M.O. » (plan de maintien de l'ordre), destiné par ces dernières à repousser toute intervention alliée : ce plan visait en effet à faire occuper, en cas de débarquement, les différents points stratégiques par les membres du SOL de Darnand, porteurs de brassards spéciaux revêtus des lettres VP (Volontaires de Place), de façon à permettre aux forces de Vichy, sachant leurs arrières assurés, de porter tout leur effort contre les forces alliées et de les rejeter à la mer. Mais ce fut finalement le contraire qui advint, car ce furent les résistants qui, pourvus des brassards "VP" allaient appliquer le plan MO, à leur façon. Cependant, les armes promises à Cherchell (750 pistolets mitrailleurs Sten) avaient vainement été attendues sur les plages, par suite d'une mauvaise indication des points de livraison au commandant de la corvette britannique chargée de les débarquer. Les résistants ne disposèrent donc pour remplir leur mission que de vieux fusils Lebel cachés aux commissions d'armistice, grâce au colonel Jousse.

Les chefs de groupe repassèrent au QG le lendemain, 7 novembre, pour rendre compte des premiers résultats de leur mobilisation. Ces résultats s'annonçaient en baisse par rapport aux prévisions, en raison de l'absence des armes américaines promises. On ne misait plus sur 800 volontaires, mais sur 600 seulement. Ces chefs de groupe reçurent leurs ordres de mission et leurs dernières instructions en vue de rassembler leurs groupes dans la soirée, et d'aller ensuite occuper les points relevant de leurs différents secteurs et sous-secteurs. Les brassards officiels VP leur furent remis. Ils allaient les distribuer aux volontaires, avec leurs fusils, dans les véhicules qui allaient les transporter vers leurs objectifs.

Des auteurs ont décrit la participation d'un « groupe des cinq » (ou « comité des cinq ») à cette action de Résistance, dont Jacques Lemaigre Dubreuil, Jean Rigault, Jacques Tarbé de Saint-Hardouin, le colonel Van Heycke (nommé par Pétain à la tête des Chantiers de jeunesse en Afrique du Nord) et d'Henri d'Astier de la Vigerie. Mais seul ce dernier, parmi les « Cinq », a véritablement unifié la Résistance en Afrique du nord, tandis que le putsch d'Alger a été dirigé par le jeune José Aboulker et le colonel Germain Jousse.

Le 8 novembre 1942, trois des « Cinq » étaient partis d'Alger, tandis qu'un autre, Lemaigre Dubreuil, allait attendre Giraud à Blida. Seul Henri d'Astier était à Alger le jour du putsch et a participé aux arrestations et occupations de points stratégiques effectuées par José Aboulker, Germain Jousse, Bernard Karsenty et leurs 400 camarades. Par ailleurs, la participations des Chantiers de jeunesse dans cette action se limite alors à huit de leurs membres sur environ 400 résistants.

IMG_2930.JPG

Foret de Sidi-Ferruch (2009)

La prise d'Alger par les résistants français

Finalement, seuls quelque 400 volontaires, dont les deux tiers étaient juifs, se présentèrent aux points de rendez-vous. Leur effectif réduit ne les empêcha pas d'occuper presque tous les points stratégiques sans coup férir. Peu après 1 h 30 du matin, ces résistants, auxquels on avait distribué en cours de route les brassards officiels VP destinés aux militants collaborationnistes, avaient atteint, puis occupé leurs objectifs : munis d'ordres de mission signés du général Mast ou du colonel Jousse, leurs chefs de groupe ou de secteurs, dans leurs uniformes d'officiers ou de sous-officiers de réserve, avaient relevé sans difficulté les différents postes de garde vichystes, et s'étaient installés dans les casernes, à l'arsenal, dans les centraux téléphoniques, dans les commissariats de police, au Gouvernement général, à la préfecture et à Radio Alger.

Le jeune José Aboulker (22 ans), accompagné d'une vingtaine de camarades, avait occupé le commissariat central, vers 1 h 30 du matin, après l'installation préalable d'un nouveau commissaire central, nommé par le général Mast, en vertu de l'état de siège. Aboulker, accueilli par ce nouveau maître des lieux, le commissaire Esquerré, s'installa immédiatement au standard téléphonique, et y fit brancher la ligne officielle. De là un contact suivi fut établi vers 1h50 avec les différents chefs de groupes, qui rendirent compte, les uns après les autres, de l'exécution de leurs missions respectives.

Seuls l'Amirauté et l'état-major de la Marine, à l'Hôtel Saint-Georges, n'avaient pu être pris en raison du manque d'effectifs. Néanmoins, les jeunes gens du lieutenant Cohen, chargés d'occuper l’état-major de place, allaient réussir à fermer l'entrée de l'amirauté pendant toute la nuit, tandis que le volontaire Rager, accompagné de 15 amis allait bloquer les issues de l'état-major de la Marine, où se trouvait l'amiral Moreau.

Pendant que tous les autres points stratégiques étaient occupés, un groupe de policiers résistants dirigé par le commissaire Achiary s'était chargé de neutraliser les personnalités civiles collaborationnistes. Dans le même temps, d'autres groupes de volontaires se chargeaient d'arrêter ou d'encercler dans leurs résidences les généraux au-dessus de trois étoiles (les généraux Juin, Mendigal, Koeltz, ainsi que l'amiral Fenard). Ainsi espérait-on faire passer automatiquement le pouvoir militaire au général Mast, en attendant l'arrivée de Giraud. Mais, lorsque le sous-lieutenant Imbert et son groupe avaient occupé l'état-major de division, ils n'y avaient pas trouvé le général Mast.

De son côté, vers 2 h du matin, le général de Montsabert chef de la garnison de Blida, rallié par Mast à la conspiration, se chargea d'intervenir, avec un détachement de ses tirailleurs algériens, à l'aérodrome de Blida. Il importait de neutraliser cet aérodrome du point de vue stratégique, et, de plus, c'était là que Giraud devait atterrir. Mais le nom de Giraud ne produisit aucun effet sur le colonel d'aviation Montrelay, qui refusa de laisser Montsabert s'y installer. C'est ainsi qu'un face-à-face menaçant s'établit pendant plusieurs heures à Blida, entre les soldats de l'armée de l'Air et les tirailleurs algériens de Montsabert. À Sidi-Ferruch, un autre des rares officiers d'active résistants, le colonel Baril, avait réussi à en faire occuper le fort par l'une de ses compagnies, et à en neutraliser les batteries contrôlant les plages. Si bien que les forces de débarquement alliées allaient pouvoir y prendre pied sans aucune perte. Les autres points de débarquement se situaient à la Pointe Pescade, à l'entrée ouest d'Alger et sur les plages du Cap Matifou, de l'autre côté de la ville.

Torch-troops_hit_the_beaches.jpg

07:13 Écrit par Pataouete dans L'Algérie | Lien permanent | Commentaires (15) | Tags : algérie, putsch 1942

Commentaires

Mais oui, coucou, je suis là et je viens même de lire ton article passionnant! Mais il est vrai que je suis très occupé en ce moment, entre des prestations de lecture (j'en fais une dans une salle du Sénat, lundi et mardi pour illustrer un collocque sur "Dieu et les femmes " !!!organisé par mon ami, l'auteur Mohamed Kacimi. Je n'ai donc pas trop le temps de m'occuper de mon blog, ni de passer visiter mes amis, mais tout rentrera dans l'ordre, la semaine prochaine ! Bisous

Écrit par : Laurencel | 26 novembre 2010

Quel travail! passionnant, mais il faut que je relise !

Des bises yves, bonne soirée

Écrit par : noelle | 26 novembre 2010

@ Résister


Je profite pour rendre hommage aux fréres d'Astier de la Vigerie qui ont tant fait pour la France.Mon père m'en a tellement parlé que je ne peux que leur rendre hommage.
Henri est l'instigateur à Alger et son frére va être un grand Resistant.Tous deux seront faits Compagnon de la Libération ( plus beaucoup de vivants sur les listes à ce jour) et porteront l'insigne aux couleurs noires et vertes ,noir pour le deuil et vert pour l'espérance...
Emmanuel le frère va composer la fameuse complainte du partisan,un si beau chant qui sera repris bien plus tard par Léonard Cohen.
Il n'y a plus beaucoup d' hommes de leur trempe malheureusement.

Pierre

Écrit par : Ulm Pierre | 26 novembre 2010

Votre article est passionnant car il donne bien les détails.
Mon père, Emile Atlan, a occupé la Préfecture avec ses copains du cercle Géo-Gras, entre autres Charles Bouchara et André Temime, qu'ils avaient fondé en 1941. C'est Raphaël Aboulker et non José qui a parlé à la radio mais on a tendance à attribuer tout le mérite de cette résistance à José, plus connu en tant que Professeur de Médecine et communiste, fils de Henri Aboulker, qu'à ses cousins Stéphane et Raphaël, fils du très renommé Pr Charles Aboulker, mort bêtement en tombant d'un tram pour aller soigner un malade en urgence. Ou aux autres résistants moins connus mais tout aussi actifs.

Écrit par : Paule Atlan | 31 octobre 2011

Bonjour Paule,
Toujours a la recherche de temoignages sur l Operation TORCH, j ai retrouve un article avec photo des freres ABOULKER, raphael et stephane avec le capitaine PILLAFORT..
Taper sur google....Stephane ABOULKER cineaste.....
Bone journee.
Lucien Gozlan

Écrit par : gozlan lucien | 10 octobre 2012

Docteur Paul MOLKHOU
Pédiatre Allergologue
Chargé d'Enseignement
Université René Descartes
Ancien Consultant
Hôpital St. Vincent de Paul Paris
8 rue du Grand Veneur 91450 Soisy sur Seine
et 47 rue de Bourgogne 75007 Paris
E-mail: paul.molkhou @ orange .fr.
paul.molkhou@numericable.com

Le 8 novembre 2012
Soixante dix ans ont passé
J'ai fait partie de ces 400 gamins décrits par José ABOULKER qui ont participé à cette journée mémorable. Faisant partie du groupe commandé par le Dr Morali Daninos ( 20 à 25 au plus!) nous avons d'abord neutralisé dans la nuit du 7 un commissariat près du Palais d'Hiver puis pris possession du Palais d' Hiver avec notre chef SIROT . Malheureusement, le débarquement ayant eu lieu avec quelques heures de retard, les troupes de Vichy ont eu le temps de se réorganiser et un détachement de gardes mobiles armés de mitrailleuses,alors que nous disposions que de vieux fusils Lebel nous ont obligé à nous rendre pour éviter un massacre. J'ai été enfermé avec mes camarades à Barberousse pendant 5 jours et libéré la veille de mes vingt ans le 14 novembre, par les Américains grâce à l'intervention du Colonel John KNOX attaché militaire au Consulat des Etats Unis dirigé par Robert MURPHY.Je continue de rester en contact avec mon ami Bernard PAUPHILET qui avait arrêté Général JUIN et l'Amiral DARLAN à la Villa des Oliviers. J'ai été décoré de la Croix de Guerre en 1947 et la Légion d'Honneur en 2011.

Écrit par : Paul MOLKHOU | 08 novembre 2012

Paul bonjour,
Super temoignage, je vous ai passe un message sur votre mail, j espere recevoir un long temoignage sur le site de Morial, je vous ai ecrit comment y acceder...
Merci pour une prochaine reponse.
Je suis impatient

Écrit par : gozlan lucien | 09 novembre 2012

Bonjour et bravo piur ces témoignages !!!
Je suis actuellement à la recherche d'info sur mon Grand oncle ARTIERES Casimir qui était droguiste à Alger. J'ai une coupure de presse le "Pionner" faisant état que le Communiste Artieres avait été arrêté en Janvier 1942 suite à des manisfestations ...je pense. Il est noté sur son procés verbal : individu dangereux pour la défence nationale et la sécurité publique du préfet PAGES. J'ai également sa carte de déporté à Djenien Bou Rezg.Dans une autre coupure de prsses j'ai trouvé, sa photo aupres de vincent Auriol qui l'a défendu entant qu'avocat suite à une arrestation en France pour avoir afficher des tracts anti-militariste. Je sais également que lorsque les alliés libérèrent l'Algérie, la Résistance le désigna comme Conseiller Municipal. Mes oreilles d'enfants se souviennent d'une histoire de Préfecture... mais sans certitude. Si vous avez des infos ou si vous avez renconté mon Grand Oncle qui travailla dans un abatoir ( apres que sa femme est du vendre sa droguerie durant son incarceration )je suis preneuse !!!! Merci beaucoup . Caroline Artieres.

Écrit par : Artieres caroline | 21 novembre 2012

madame pas connu votre parent, je verrai dans mes notes le listing des noms qui ont participe au 8 novembre 1942 a alger, il y avait de nombreux juifs et aussi des non juifs
merci d etre aux infos
gozlan lucien

Écrit par : gozlan lucien | 11 janvier 2013

Je n'ai malheureusement pas connu votre Grand Oncle,car à cette époque j'étais encore au Lycée d'Alger que j'ai quitté en Juin 1941 après mon baccalauréat alors que je n'avais que 18 ans.

Docteur Paul MOLKHOU
8 Décembre 2012

Écrit par : Paul MOLKHOU | 08 décembre 2012

bonsoir
comment connaitre le nom de ces hommes qui ont participé au 8 novembre 1942

merci
dr lanquar chabert

Écrit par : lanquar -chabert joelle | 08 novembre 2013

Pour connaitre tous les noms de ces resistants il faut ecrire sur google mon recit Gozlan Lucien "Les Oublies du 8 novembre 1942 a Alger"

Écrit par : gozlan lucien | 19 février 2014

Qui a connu Mr BALDACCI michel économe au lycée de Blida en 1942 ou il y habitait avec sa femme sa fille et son fils. Il est parti subitement en 1947 on ne sais pas pourquoi, il a tout quitté obligé de partir pour la France. Plus tard on a su qu'il vivait à Paris......Si quelqu'un sait ce qu'il s'est passé, faites moi un petit mot.
Je suis sa nièce et je fais des recherches pour son fils qui n'a pas connu ce père.
Merci d'avance

Écrit par : baldacci | 16 février 2014

Bonjour à tous,
Qui a connu l'économe du lycée de blida Mr Baldacci Michel (1942) en 1947 il s'est passé quelque chose pour que cette personne quitte l'Algérie subitement et ne donne plus de nouvelles . C'est à sa mort en 1970 qu'on a su qu'il vivait à Paris....Que s'est il passé si quelqu'un le sais qu'il me raconte. Je suis sa nièce mais c'est pour son fils qui n'a jamais vu son père que je le fais.
Merci à tous

Écrit par : baldacci | 16 février 2014

Bonjour à tous,
Qui a connu l'économe du lycée de blida Mr Baldacci Michel (1942) en 1947 il s'est passé quelque chose pour que cette personne quitte l'Algérie subitement et ne donne plus de nouvelles . C'est à sa mort en 1970 qu'on a su qu'il vivait à Paris....Que s'est il passé si quelqu'un le sais qu'il me raconte. Je suis sa nièce mais c'est pour son fils qui n'a jamais vu son père que je le fais.
Merci à tous

Écrit par : baldacci | 16 février 2014

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