18 juin 2010
Une Histoire Belge
Selon le débat actuel et en retour de la (toujours) remarquable émission C dans l'air de Lundi soir, quelques Histoires Belges !
Clovis premier Roi des Francs.
La carte vous démontrera ou se situaient les territoires Francs avant l'avènement de Clovis.
Waterloo morne plaine !
Napoléon prend une raclée à Waterloo. L'Empire se désagrège, Napoléon prend le Bateau pour St Hélène.
La Sainte Alliance, Coalition Européenne, tient à créer un état tampon au Nord de la France. Une monarchie constitutionnelle est crée autour de la Wallonie et Bruxelles. Que faire de la Flandres ? Bien que de langue néerlandaise, les Flamands sont Catholiques et par conséquent ils s'opposent aux Pays-Bas protestants. Donc, ils seront intégrés au Royaume de Belgique.
Histoire de Langue
Le pays, rencontre des cultures germanique et romane, comprend différentes communautés linguistiques et culturelles.
Les trois langues officielles sont le néerlandais, le français et l'allemand. Elles sont placées sur un pied d'égalité au niveau fédéral. Parmi les différentes régions, seule la Région de Bruxelles-Capitale (habitée par près de 10% de la population) est officiellement bilingue (français et néerlandais).
La Région flamande (habitée par près de 58% de la population), située au nord-est, est officiellement unilingue néerlandophone.
La Région wallonne (habitée par plus de 32% de la population), située au sud-est, est officiellement unilingue francophone, à l'exception de la région de la Communauté germanophone de Belgique, laquelle comprend 75 000 personnes, soit moins d'un pour cent de la population belge.
Des minorités linguistiques sont présentes dans les régions unilingues, leurs importances respectives ne peuvent être qu'estimées, les recensements linguistiques étant interdits par la loi en Belgique. Les néerlandophones représenteraient 57 % à 60 % de la population belge, et les francophones 40 % à 43 %. À côté des langues officielles, sont parlées des langues régionales endogènes ou des dialectes. Il s'agit du brabançon, du champenois, du flamand occidental, flamand oriental, du francique ripuaire, du limbourgeois, du lorrain, du luxembourgeois, du picard et du wallon. La diversité linguistique provoque souvent des conflits politiques, liés à d'autres enjeux (la position arithmétiquement minoritaire des francophones, celle, plus socioculturelle de la langue néerlandaise au départ, la francisation de Bruxelles, la politique étrangère de l'entre-deux-guerres, les problèmes économiques wallons, surtout à partir des années 1960, etc.), qui ont engendré un système de gouvernance complexe.
Mais, en 1830, n'en est-il pas de même pour l'ensemble des Pays d'Europe ? L'usage des Langues aujourd'hui "Nationales" ne s'est-il pas généralisé au début du XXème Siècle ? et encore !
L'essor Industriel
C'est la Wallonie qui possède les Richesses Minérales et Financières. C'est en Wallonie que les Maitres de Forges développent l'Industrie. Les Flamands n'ont plus qu'à partir travailler en Wallonie. Ils en garderont un légitime sentiment de féodalité.
Le Plan Marshall (encore lui !)
Après la Deuxième Guerre mondiale, les données changent, la reconstruction porte surtout sur les Flandres et la mouche change de Coche. Ce sont désormais les Flamands qui possèdent les Richesses et les Wallons qui deviennent pauvres et socialement assistés. Les rancœurs passées demeurent. Le "Boulet" Wallon est dur à supporter.
Petite remarque subsidiaire. Le Plan Marshall n'était-il pas un peu Francophobe ?
Qu'en pense le Grand Jacques ?
Demain...
07:05 Écrit par Pataouete dans La poulitique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : belgique, nva, histoire belge
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